J’ai gardé de mon enfance et des gestes d’aiguilles maintes fois répétés de ma mère et de ma grand-mère le souvenir du fil.
Si j’ai appris à broder grâce à mémé Marguerite, je n’ai jamais accroché …au crochet ou au tricot, et la couture était synonyme du supplice de l’ourlet – où je montais sur la table pendant ce qui me semblait être des heures tandis que ma mère mesurait au millimètre près la longueur de mes robes à smocks.
Au fil du temps goûts et envies ont évoluées, et si j’ai continuer à broder tout en étant myope / astigmate / presbyte (le supplice !) j’ai aussi tâté du tissu et enfin depuis peu les aiguilles et le crochet.
Le lien c’est fait grâce à Isabelle, que je ne remercierai jamais assez.
Un bel hommage a mamie et a maman😘
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