Voilà un moment que je vous avais pas donné de nouvelles. J’ai une bonne excuse : l’été dernier de St-Prissienne je suis devenue Sancto-Bénédictine, bref, j’ai déménagé dans le Poitou.
Rangées les aiguilles et les pelotes de laine, tellement bien rangées que je les oublie.
Même si je n’ai pas encore le coeur à l’ouvrage, je sais que le désir reviendra. Je ne sais pas quand, il faut laisser le temps au temps. La Brebis Perrette me manque, comme Miss Yu, Catherine, Mumu, la douce et lumineuse Cécile… et notre chère Isabelle.